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Guimet - Musée national des arts asiatiques

France

6 place d’Iéna 

75116 Paris 

www.guimet.fr 

+33 (0)1 56 52 54 33


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Bronzes royaux d’Angkor, un art du divin
Du 30 avril au 8 septembre 2025
Mondialement célébré pour ses monuments de pierre, l’art khmer a aussi produit une importante statuaire de bronze dont la connaissance a fait l’objet d’avancées spectaculaires à la faveur de fouilles récentes.
C’est au bronze que le musée Guimet consacre l’exposition Bronzes royaux d’Angkor, un art du divin. Clou de cette exposition : la statue du Vishnou couché du Mébon occidental - un sanctuaire du 11e siècle à l’ouest d’Angkor - retrouvée en 1936, qui mesurait à l’origine plus de cinq mètres de longueur. Ce trésor national du Cambodge sera exposé pour la première fois avec ses fragments longtemps séparés, après avoir bénéficié en 2024 d’une campagne d’analyses scientifiques et de restauration en France, avec le mécénat d’ALIPH (Alliance internationale pour la protection du patrimoine). Il sera accompagné de plus de 200 œuvres, incluant 126 prêts exceptionnels du musée national du Cambodge, dont la présence permet de dresser un parcours chronologique de l’art du bronze au Cambodge, du 9e siècle à nos jours, à travers un voyage conduisant le visiteur dans les sites majeurs du patrimoine khmer.


Haïkus d’argent, l’Asie photographiée par Michael Kenna
Du 11 juin au 29 septembre 2025
Représentant de premier plan de la photographie minimaliste contemporaine, Michael Kenna nourrit un attachement profond pour l’Asie. Célébrant la donation par Michael Kenna de son œuvre à la France en novembre 2022, cette exposition est la première rétrospective d’envergure sur son travail en Asie.
Forgé à partir des années 1970, le vocabulaire formel de Michael Kenna fait la synthèse de plusieurs avant-gardes photographiques du 20e siècle. Depuis son premier séjour au Japon en 1987, il n’a eu de cesse de retourner en Asie pour passer les paysages de l’archipel au prisme de son esthétique, avant d’élargir son horizon à la Chine, la Corée du Sud, l’Inde et l’Asie du Sud-Est dans les années 2000.
Il entretient des affinités avec les arts classiques de l’Asie orientale. La monochromie, l’économie de moyens, un usage audacieux du vide et le désir de transcender le sujet rappellent volontiers la peinture à l’encre japonaise (shuimohua, sumi-e). De même, certaines compositions évoquent le travail japonais de la laque (dont la technique du maki-e) tandis que des jeux d’échelle peuvent transformer un paysage enneigé en calligraphie. Dépassant l’esthétique, ces liens incluent également l’acceptation de la lenteur, la quête de la perfection, le retour cyclique au motif, une éthique artisanale et même une dimension spirituelle.

Vishnou du Mebon occidental d’Angkor

Art khmer, époque angkorienne, seconde moitié du 11e siècle, Musée national du Cambodge, Phnom Penh, Cambodge

Printemps Asiatique Paris

Du  5 au 14 juin 2025

Les plus importantes galeries d’art et d’antiquités spécialisées, maisons de ventes aux enchères et institutions culturelles s’unissent pour rendre compte de la richesse des arts asiatiques et du dynamisme du marché français.

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